dimanche 17 janvier 2016

L'immaturité Politique Centrafricaine.

Apres plus de 50 ans d’independence prise a la sauvette par Barthelemy BOGANDA sans préparation préalable, le climat politique centrafricain n’a jamais évolué. La classe politique centrafricaine est restée   immature comme l’ensemble de la population centrafricaine. Tout le monde veut faire la politique sans connaitre la politique. C’est vrai que l’Homme est un animal politique mais l’exercice de la politique n’est pas donnée à tout le monde. Faire la politique n’est pas la consequence d’un raté  scolaire comme ça été le cas de la majeur partie des politiciens centrafricains.

La République Centrafricaine est un des pays qui excelle dans les grands pourcentages de rater (90 -99 %). Et comme nous sommes habitués  de ces grands pourcentages, nous ne pouvons que continuer sur cette lancee. La Republique Centrafricaine possede 91% de faux politicien d'apprentis sorciers. Les Hommes qui pensent que faire la politique c'est faire :
- de la démagogie;
- de l'aventure 
- des alliances contre nature pour seulement se faire une place dans la mangeoire;
- des messes de minuit humiliantes seulement pour un poste dont ils ne méritent;
- tout ce qui est possible pour rester dans la mouvance présidentielle.

L'éthique politique n'est jamais respecté parce que les sois disants faiseurs de politique ne sont pas des politiciens. Cette manque de connaissances conduit à des prostitutions politiques ou une personne peut transiter dans différent partis politiques qui ont des aspirations différentes pour seulement gratter dans le budget de l'Etat.

Les propagandes centrafricaines sont comparables au show des humoristes pas n'importe lesquels mais qui sont plus axés sur les insultes. Les propagandistes ne font pas la différence entre opposant et ennemi, idées divergentes et lutte de position. Les propagandistes sont la plupart du temps des personnes qui n'ont pas un niveau d'études et c'est lors de ces moments de grandes envergures au'ils se font de l'argent donc tous les coups sont permis pour leur enrichissement au détriment de la vraie politique. 

Les nominations aux postes de responsabilité se font de grès à grès. L'objectivité n'est pas dans les nominations ou le clientélisme, le népotisme, le tribalisme dominent dans les arrêtés de nominations. Le mérite et les diplômes (spécialité) ne sont pas à la base des postes de responsabilité. Tout se fait par des calculs politiques d'intérêt privés et égoïstes au détriment de la nation. Pour assurer leurs arrières, on nomme la personne que l'on peut maîtriser et manipuler même à distance lorsque'on perd le pouvoir.

samedi 16 janvier 2016

Parti Politique Centrafricain : entre appartenance et fanatisme

Molengue Ti Kodro ne comprend pas pourquoi la politique centrafricaine est devenue au fil du temps une politique fanatique. Les partisans des partis sont tellement encrés dans la personne de leur président qu'ils oublient de réfléchir. 
Les partisans n'arrivent pas à faire la différence entre adhérence et croyance. Ils avalent tout ce que dit leur Président sans cogiter.
Les partisans et/ou membres ne connaissent jamais le statut et l'aspiration de leur parti avant d'adhérer. Les raisons d'adhérence dans les partis politiques sont la plupart du temps :
- ethnique 
- régionale
- familiale
- amicale
- forcée, pour des postes
- obligatoire, de père en fils
- communautaire.
- rarement idéologique.

Étant obligé d'adhérer à un parti et non l'autre pour ses raisons pré citées, rien de bon ne sortir de leurs assemblées. Les partis ne peuvent rien apporter de sérieux pour le pays et leur programme ne peut rien changer dans la structure de l'Etat.

Pour cause :
- le clientélisme est érigé en droit
- l'affairisme est érigé en prérogative
- la corruption est normale du moment où la personne rentre dans une des moules citées ci haut
- le clanisme est la première cause d'évolution sociale.
Conséquences directes :
- les ethnies minoritaires n'aspireront à la gestion du pays
- les préfectures où il y a moins d'habitants au km2 ne pourront peser dans la destinée du pays
- les personnes méritantes ne pourront jamais s'affirmer si elles ne sont pas dans la moule de la majorité 
- les vrais politiciens ne pourront apporter leur pierre à l'édifice du pays 
- les projets réalistes ne pourront être exécutés dans le pays
- l'évolution est conditionnée.

La République Centrafricaine n'est pas encore prête de sortir de l'auberge. Dans cette auberge tous les lits sont dans un état de délabrement avancement comme les bâtiments administratifs de la République Centrafricaine.
MESAN, MDD, RDC, MLPC, UDP, FPP, PUN, PLD, ... . La liste est longue.

dimanche 27 décembre 2015

2015, Election des idiots

A un pas du vote, aucun candidat président et/ou député n’a donne un meeting pour expliquer le pourquoi il se lance dans la politique.

Se lancer dans la politique est donne a tout le monde mais faire la politique n’est donne qu’aux inities, ceux savent pourquoi la politique est faite et quel est le rôle du politicien. Au contraire la politique en Centrafrique, c’est l’histoire de gueulade. Si tu cries beaucoup même dans le vide, c’est là que tu pourras être vote et/ou avoir un poste politique.

Aujourd’hui 27/12/15, la date du vote du président de la VIe République Centrafricaine et même 5% de la population ne connait aucun programme politique des candidats, hors mis Ziguele et Dologuele qui ont mis leur programme politique en ligne en libre accès, les autres c’est le bruit de l’eau qui sort du robinet.

Les centrafricains ont voté la constitution sans entre en possession du texte de la constitution (qui comporte plein de coquille comme si la saisie a été faite par un élève de l’ancien CM2). Ils ont voté OUI dans le noir parce qu’on leur a demandé de voter OUI.

La constitution est passée et la propagande est retardée de 3 jours pour permettre aux candidats de se rattraper. Vous voulez le vote de confiance, dites-nous seulement ce que vous pouvez faire.

Des candidats qui n’ont pas un niveau 3e, qui ne savent pas conjuguer correctement les verbes veulent représenter et diriger le Centrafrique. Le Centrafrique est à 98 % analphabète mais ce n’est pas tous les centrafricains qui ne savent pas lire ni réfléchir.

Si les grands meetings depuis le début de la propagande se font seulement en province c’est parce que la population est acclamative et subjective car à part les préfectures et quelques sous-préfectures ou il y’a des infrastructures de  lycée tout le reste n’a que des infrastructures de l’école primaire donc la majorité a le background du CEPE (Certificat d’Aptitude Primaire et Elémentaire). Cette masse ne comprendra rien dans la géopolitique ni la macroéconomique, il suffit de leur promette la route, l’hôpital, les enseignants, l’ambulance, le PAM, l’UNICEF et maintenant le UNHCR pour les bâches et ustensiles de cuisine pour gagner leur cœur et estime (sans parler de la lumière, électricité, qui est sujet Tabou).

Election et propagande des idiots, depuis la qui a vraiment parlé des crises récurrentes du Centrafrique (avec un cycle de 10 ans). On va encore attendre 10 ans plus tard pour regretter ce que nous sommes en train de faire maintenant. Je vous préviens que dans 10 ans, nous aurons une crise du Sud si ce n’est pas la Lobaye appuyée des pygmées ce serait les Yakoma avec toutes les ethnies apparentées.


Votez, votons, tout le monde entre dans la nouvelle auberge avec une nouvelle crise en gestation.

lundi 14 décembre 2015

Le mariage, un probleme centrafricain

Molengue Ti Kodro se demande pourquoi il y'a moins de mariage en République Centrafricaine ces dix dernières années et comment y remédier.

- nous avons comme premier frein au mariage la famille. Pour la famille, il est impossible de se marier dans les tranches d'âge de 18-30 ans et 30-40 ans, elle voie cette décision dans ces tranches d'âge comme de l'aventure vouée à l'échec;

- le payement de la dot qui a longtemps été depuis diabolisé par les belles familles; ce qui pour autant á entraver multiple cheminement convergeant au mariage à cela s'ajoute le snobisme de certains nantis pour montrer leur puissance financière paient des dots faramineuses; conséquence, les personnes les moins nantis ne peuvent plus s'aventurer dans la dot de leur bien-aimée.

- l'individualisme (ou le choix de l'éternel célibataire) développé par le suivisme ou le mimétisme de la culture occidentale ou le sexe n'a pas plus d'importance. Tout l'objectif est de jouir de sa jeunesse, les couples se font et se défont comme le tour de la petite aiguille d'une montre ce qui veut dire qu'aujourd'hui ils sont en couple et demain chacun fait son chemin pour de nouvelles conquêtes.

- la croyance en Dieu et ses principes qui interdisent toute union après un passage devant l'officiant de Dieu. La plupart des croyances religieuses ne permettent pas le divorce alors les couples se font et se défont au grès des événements ou pour le plaisir de nouvelles expériences.

- la pauvreté qui est un frein à tout développement est aussi un frein à toute légalisation d'un couple. Nous savons toute cérémonie, toute démarche ne se font pas sans un moyen financier. Comment deux célibataires qui vivent sous le même toit n'arrive pas à bien se nourrir peuvent espérer un jour légaliser leur union devant les Hommes et/ou devant Dieu.

- la baisse de niveau de vie a contribué négativement à la baisse des demandes de mariage, dote et fiançailles. Comment une personne vivant dans une situation précaire (contrat de travail à durée déterminée, bénévolat, contrat d'apprentissage, intérimaire) peuvent penser un jour prendre la décision de fonder un foyer et le légaliser. La peur de l'inconnu les couples précaires (financièrement) a resté sur leur faim ne pouvant pas s'aventurer dans des cérémonies qui pourront épuiser leurs économies.



Propositions de solution :

- encouragement du mariage par l'Etat par des sensibilisations radiotélévisées, visuelles et des financements pour diminuer les frais de démarche administrative et de location de salle de festin.

- la sensibilisation de la belle-famille sur les demandes excessives sur la valeur (montant et bien en nature) de la de la dot pour leur amener à comprendre que la dot un geste symbolique et non une affaire lucrative (ou un fond d’investissement) pour leurs projets.

- la sensibilisation dans les églises, mosquée, lieu de culte, radio, télévision sur l'importance du mariage qui est un acte sacré qui protège le couple et plus la femme et les enfants au cas de la disparition tragique du chef de foyer. Comme la famille africaine à la vilaine habitude de s'accaparer des biens du défunt au détriment de sa famille atomique qui se retrouve sans rien.

- Création de session de préparatif de mariage ou des personnels de l'événementiel et des anciens mariés vont sensibiliser les jeunes sur les avantages et les manières d'organiser ces cérémonies (fiançailles, dot, mariage) à moindre coût.

- organiser des mariages de masse pour diminuer les coûts d'organisation du mariage. Créer un comité d'organisation de mariage qui pourrait se retrouver 4 fois l'an pour organiser une grande cérémonie de mariage préparée en amont qui regroupera plusieurs couples. Cette technique diminuera les coûts d'organisation du mariage en partant du fait que l'union fait la force.

- sensibiliser les familles á accepter le choix, et le désir des jeunes couples à légaliser leur union. Il faudrait enseigner à la famille qu'elle n'a pas un droit de veto sur l'union des jeunes (par le choix de leur gendre ou bru) pour leur choix égoïste et intérêt financier. Chaque parent veut choisir le partenaire de son choix pour sa progéniture et si celle-ci lui désobéi, il s'oppose à toute union formelle et informelle de sa progéniture;

- financement si possible par l'Etat, l'Eglise, la Mosquée, la Famille, amis et Connaissances pour permettre aux jeunes ayant des revenus faibles ou moyens d'accéder au mariage.

Je ne suis pas encore marié, ceux qui veux dire moi aussi je cherche comme tout jeune á célébrer mon union devant les Hommes et devant Dieu.


dimanche 13 décembre 2015

Centrafrique, les mauvais preparatifs de l'independance

Molengue Ti Kodro a fait les tours des discours et des centres de discussion, de la politique à la population lambdas. Constat très amer. 

Le centrafricain réagit comme un Homme qui a 50 ans continu de vivre sous dépendance parentale. Il ne fait rien pour s'en sortir mais accuse toujours son père d'être responsable de ses échecs.
- "Papa ne veut pas m'aider";
- "Papa ne veut pas me donner d'argent ";
- "Je n'ai pas réussi à cause de Papa alors que j'étais très intelligent" et bla bla

Alors qu'il a oublié que ce fameux Papa l'avait mis dans toutes les conditions pour réussir (maison électrifiée, repas trois fois par jour, école avec des bons professeurs, véhicule pour les déplacements) et il a tout gâté pour s'amuser, voler (les ustensiles, la télévision, les valises, ... pour vendre aux voisins), détourner les sacs de manioc destinés à la maison pour lui seul, détourné l'argent qu'on lui octroie pour s'occuper de la famille à ses profils personnels... . Avec tout cela, il continue toujours d'accuser son père des causes de son échec. 

Ce Monsieur est le centrafricain et le père est le pays colonisateur, la France. La France nous a amené l'école avec des coopérants comme formateur il a refuser d'aller mais à demander son indépendance. Elle a créé des plantations de café, manioc, maïs, etc pour son autosuffisance alimentaire; il a abandonné les champs. Elle lui a laissé des sociétés para étatique (Enerca, Socatel, Sodeca) en bon état, il a tout saboté au point que l'électricité est utilisé comme la bougie seulement le soir pour regarder. Elle lui octroie des centaines des Millions pour des réalisations dans le pays, il détourne les 75% pour son compte personnel. La France paie toujours deux derniers salaires de l'année, le fonctionnaire comptabilise les arriérés de salaire parce que le centrafricain ne veut pas donner l'argent aux centrafricains pour son luxe et ses congés en Europe. Après tout cela, il accuse la France d'être responsable de son échec.

Bozizé, ses enfants barbares, ses lieutenants au dessus de la loi n'était pas des français de souche mais centrafricain. Djotodjia, Nourredime, la Seleka n'étaient pas une rébellion française mais centrafricaine.
Ce sont pas les petits français qui tirent et braquent la population centrafricaine. Ce ne sont pas les petits français qui ont détruit et pillé les maisons des centrafricains.

Ce ne sont pas les petits français qui refusent d'octroyer les bourses aux centrafricains.

Ce sont pas les petits français qui font recaler les étudiants à l'Université de Bangui.

Ce ne sont pas les petits français et ce ne sont pas, une litanie de négation de la France. Après on accuse la France parce qu'elle est le pays colonisateur et toi que fais tu de ton indépendance. 

Le Centrafricain doit savoir dès aujourd'hui que le changement ce ne sont pas :
- les coups d'Etat
- les rébellions 
- le rejet pur et simple des dossiers de son prédécesseur 
- la formation d'une armée clanique 
- le sabotage de l'éducation par des grèves et années blanches pour décrier un régime 
- la manipulation de la jeunesse enfin de saccager le pays pour revendiquer sa place au tour du gâteau.

Molengue Ti Kodro, le centrafricain ne comprendra jamais qu'il est la cause de son malheur.

Election 2015 : Projet électoral sans Education

En lisant les projets électoraux de la majorité des candidats aux élections centrafricains, je me suis rendu compte que l’essentiel n’est pas à l’ordre du jour.

Tous les programmes sont axés en majorité sur le développement (quel développement, alors que le cas de Centrafrique n’est pas le développement mais un essor économique) et la paix (sois disant le vivre ensemble inter religieux) alors que le vrai problème de tout un pays digne du nom n’est pas cela.

Qu’est-ce qu’un bon leader peut faire avec un peuple analphabète et barbare a 98%. Même a la cour du roi petaud (On a coutume d’employer ce proverbe à l’égard de toute société, de toute maison où il n’y a point d’ordre, où l’autorité du chef est méconnue, et ou partant, tout le monde est maître), les leaders arrivent à gérer leurs éléments dans le grand désordre. Mais en Centrafrique, non seulement tout le monde est maitre mais tout le monde ne connait rien ; la preuve est qu’après 50 ans d’indépendance le plus haut niveau d’étude reste la maitrise.

Conséquences, de république en république, de constitution en constitution, d’élection en élection, de coup d’Etat en coup d’Etat rien ne pourra changer dans ce pays d’idiot. « Cherche à connaitre la connaissance et la connaissance te fera homme libre » mais en Centrafrique, la connaissance n’est pas à l’ordre du jour.

A tous les niveaux, la médiocrité a pris le dessus. A tous les niveaux, on s’oppose à l’avancement intellectuel du centrafricain. Aucun candidat n’a pris l’éducation comme son slogan de bataille. Comment espérer un Centrafrique meilleur avec un peuple qui n’a rien dans la tête. Quel changement peut se faire avec un peuple qui n’est pas à se changer.

Tout le monde veut être mais ce n’est pas cette candidature qui va garantir la paix et l’essor du Centrafrique mais un peuple préparé au changement.


« L’EDUCATION D’ABORD ET LE RESTE S’EN SUIVRA »

samedi 12 décembre 2015

Centrafrique, Un œuf au poussin d’or


Le Centrafrique est un pays de tous les paradoxes. Tout ce que le centrafricain se fait par la grâce divine comme il aime le dire. Si Dieu le veut, je vais faire cela ; si Dieu me donne la vie, je vais faire ceci ; Dieu a déjà tout décidé pour nous.

Avec Dieu, nous allons faire le referendum constitutionnel demain 13 Décembre 2015. N’est-ce pas le rôle de l’Autorité Nationale des Elections, ce vote référendaire ? Si a un pas de ce vote, les urnes ne sont pas acheminées dans les bureaux de vote, les bureaux de vote ne sont pas encore désignes, je crois que cette fois ci Dieu va nous abandonner devant notre fais.

A un jour d’un referendum constitution qui sous-entend un contrat social entre la population, l’employée et l’Etat, l’employeur, la majorité des centrafricains ne sont pas en possession des textes qui régissent cette constitution.

En Centrafrique, tout est dogmatique comme en religion. Le peuple a l’obligation de voter « OUI » pour une constitution dont il ne connait pas le contenu. Les seigneurs centrafricains demandent au centrafricain d’approuver un contrat qu’ils ont taillée pour leurs intérêts personnels et égoïstes. Pire, le centrafricain va voter « OUI » sans savoir ou va ce vote.

Vote, Vote… Le vote sera quand et où ? Même au près du but la logistique du vote n’est pas encore prête. Comme nous avons beaucoup de leader religieux, ils nous feront un miracle comme l’a fait jadis Jésus à Canaan. Cette fois ce ne sera pas du vin, mais des urnes et des cartes d’électeurs qui vont tomber comme la manne du ciel.

Avant le vote, avec toutes les tracasseries, le résultat est déjà connu d’avance. Un « OUI » d’avance puisque tout le monde ne sera pas habilité à voter. Les quelques privilégiés qui auront accès aux cartes d’électeurs et aux bureaux de vote, voteront pour garantir leurs arrières.

Le reste (Bamingui Bangoran, Nana Grebizi, Vakaga, …) n’aura pas son mot à dire lors de la signature de ce contrat social entre la population et l’Etat.


Avec Dieu, on arrivera mais avec le centrafricain c’est l’œuf qui va donner des poussins d’or. Une constitution cachée qui va ramener la paix.