vendredi 8 janvier 2021

Le peuple centrafricain va tres bientot triompher.


 MONSIEUR Justin innocent WILITE                                         Bangui le 8 Janvier 2021

Leader politique Centrafricain

Domicilier au quartier Benz-Vi1

Villa N°297 tel 236 75 50 50 27

                                                                 A     Madame la Présidente de la cour constitutionnelle

 Objet : Recours Ordinaire au fond de la décision N°001/CC/20 DU 04 Janvier 2021 pour rectificatif et omission de chef d’accusation  constitutionnelle pour  haute trahison et  Demande d’annulation et reprise des élections générales  en application des dispositions des articles 98 et  124 de la constitution Centrafricaine.

 

                                  Madame la Présidente et les conseillers de la cour,

 

   Je reviens  vers vote haute juridiction, dans le plus grand respect de porter a votre connaissance conformément à l’article 98 de la constitution, le recours ordinaire sur la décision du 4 janvier 2921.   

    Madame la présidente et conseillers de la cour constitutionnelle, l’actualité Nationale de la République Centrafricaine est très sombre.

 Votre haute, Juridiction dispose aujourd’hui une priorité historique de l’arbitrage de tous ses différents par le pouvoir judiciaire, institutionnelle des lois de la République Centrafricaine comme Armes aiguisées de tranchées.

 Qu’aux, thermes des Dispositions de l’Articles 98, de la constitution de la République Centrafricaine, je suis victimes des pillages, des empêchements des dépôts des candidatures électorales (législative et présidentiel).

 Que l’article 110 de la Constitution, Relatif au Pouvoir Judiciaire, je devais être libre de remplir la formalité et exercer comme citoyen de la République Centrafricaine mes devoirs.

  Les décisions de votre juridiction récentes, apprécié dans la majorité de tous les opinions et suivantes des autres à venir ;

 Il  devrait porter notre haute attention de prise de conscience et le respect de notre serment intellectuel individuel y compris collectif. 

Je constate et aussi la majorité des Centrafricains,  au regard des engagements du 6 février 2019, sur  l’Accord politique pour la paix et la Réconciliation en République Centrafricaine signé entre le gouvernement Centrafricain et les groupes armées, les engagements sont violés par les partis signataires et  seraient les causes principales de cette requête.

 Que les dispositions des articles 4 et 5 des engagements des partis signataires de l’accord du 6 février 2019 sont caduques.

 Que le président de l’assemblée Nationale devait utiliser leur pouvoir législative pour interpeler l’exécutif et le destitué.

 Que conformément aux dispositions de l’article 32 de la constitution le chef de l’Etat et le gouvernement sont responsable de la haute trahison du peuple Centrafricain.                                                                                                                   

Que la responsabilité de la haute juridiction est sollicitée, voir visée dans les articles 11, 12, 16,19 et 143 pour  la sanction constitutionnelle.

 Considérant, que le gouvernement et l’exécutif sont bornés dans leurs stratégies pour conserver le pouvoir par le mécanisme des décrets et des fraudes institutionnelles.

 Les membres des groupes armés et l’exécutif  oublient la réparation des victimes, chose qui pourra revivre la responsabilité des garants du dit accord pour sauver la République Centrafricaine dans une période de transition politique et technique.

 Que, les dispositions relatives aux questions spécifiques de l’Accord du 6 février 2019, dans ses articles 6, 8, 9, 11, 16,18 et 19 sont valablement consolidées comme motifs très graves de la haute trahison des partis signataires.

 Constatant, en  conséquence et violation de l’article 20 dudit Accord de 6 février 2019,

 Recevez l’expression de ma haute et respectueuse considération

                                                                                                Justin innocent WILITE

Si les centrafricains peuvent se taire mais les institution de la Republique peuvent parler


CONCLUSION AU FOND POUR OMISSION DE CHEF D’ACCUSATION EN  DECISION CONSTITUTIONNELLE RELATIVE AU RECOUR ORDINAIRE de la Décision  N° 001 /CC/20 du 4 janvier 2021
 ; de chef  d’accusation de  haute trahison  en application des dispositions des articles 98 et  124 de la constitution Centrafricaine.

                                                                   

A        

Madame la Présidente et aux conseillers de la cour constitutionnelle

Considérant en date du 8 Janvier 2021 sieur, Justin Innocent WILITE Expert en institution et Leader politique né le 01 juin 1973 à Bangui, a sollicité, la haute juridiction de la République par une requête régulière constitutionnelle de haute trahison et demande d’annulation  et reprise des élections générales en application des dispositions de L’article 98.

 

 Que la cour a omise le chef d’accusation de haute trahison, qui relevé la compétence de la haute juridiction en son article 124 de la constitution de la République Centrafricaine.

Que selon l’intéressé, il est candidat aux élections législatives et présidentielles de 2020 et 2021.

Considérant,  la constitution de 30 Mars 2016 et les dispositions des Articles premier et suivants.

Considérant, l’Article 95 et 110 du pouvoir judiciaire ciblée par des champs d’applications des décisions de la cour constitution.

Constatant que, la régularité du recours pour omission de chef d’accusation de Sieur justin innocent WILITE ancien Candidat à l’élection présidentielle de 2011 et leader politique Centrafricain au rectificatif de la DECISION N°001/CC/20 du 4 Janvier 2021 est régulière.

Que, les dispositions de l’Article 98 de la constitution de 30 Mars 2016 et  recours de  décision sont conformes.

Que la dite requête  en recours de la procédure ordinaire en omission de chef d’accusation est recevable pour rectificatif et traitement.

 Que la procédure  est tacite de recours aux regards des études rectificatives  de la dite décision N° 001 /CC/20 du 4 janvier 2021 par les membres de la cour constitutionnelle.

Que l’article 124 de la constitution pour cause de haute trahison et susceptible de destitution du chef de l’ETAT est conforme.

Que, Les obligations des personnalités évoqués dans les articles 32 et 35  à la compétence d’urgence.

Que, la cour constitutionnelle est ordinairement permissible aux regards du pouvoir judicaire du recours d’omission en rectification de  Sieur justin innocent WILITE.

Considérant, que le requérant sollicita une audience par le passé par la bannière de son mouvement populaire des sorties des crises dénommé (coalition démocratique et Républicaine pour la Renaissance Centrafricaine CDRRC).

 Par récapitulatif du recours d’omission de Sieur justin Innocent WILITE, deux réclamations retiennent la pertinence  des juges de la cour constitutionnelle.

Que pour une des raisons non notifier à l’intéressé, constitue, selon lui un mépris de sa personnalité de leader politique et  qui dispose une habilité de porte sa modeste contribution auprès du concerné afin de pallier aux défit des crises politico sécuritaire de la République Centrafricaine.

Qu’en conséquence, des préjudices aux règles de la cour constitutionnelle, Monsieur  justin innocent WILITE voulait selon lui et l’histoire de la République Centrafricaine révèle la plus importante valeur aux respects des décisions constitutionnelles.

Que, comme règle de droit constitutionnelle,  attribution la plus sacré de la Nation et  les juges sont inamovibles aux regards de leur mandat de 7 (sept) ans non renouvelable, ceux-ci conformément aux dispositions des Articles 95, 99,106 ,107 et 110 de la Constitution Centrafricaine de 30 Mars 2016.

Qu’il ressort de sa demande de la première cause sollicitée du recours rectificatif d’omission de chef d’accusation de haute trahison constitutionnelle  en conformité de l’Article 98 de la constitution l’intéressé est une personnalité centrafricaine et âgé de 47 an révolu.

Que la haute trahison comme citation des dispositions de l’Article 124 de la constitution, il sollicite la destitution de président de la République Chef de l’Etat.

Qu’il soulevé et réclame à la dernière cause l’Annulation et reprise dans un délai de six (6) mois des élections générales en 2021.

 Que, la responsabilité de l’ANE est retenue dans la requête.

Les dispositions de la loi N°19-0012 portant code électoral de la République Centrafricaine sont largement violées.

Que l’Article 80 ,143 et 145 de la constitution de la République réserve de plein pouvoir aux juges constitutionnels de trancher les contentieux.

Que la violation de l’article 6 de la constitution révèle l’utilisation des véhicules de l’état  par le chef de l’Etat et les membres du gouvernement aux règles prohibés du code électorale par l’Article 54 dudit code.

Que compatible de haute trahison similaire aux regards des engagements du gouvernement et les groupes armées ;

Que, de  signer le 6 Février 2019 par le chef de l’Etat dans le  cadre de  l’Accord politique pour la paix et la réconciliation en République Centrafricaine et ensuite violé pour garantir une élection, libre, sécurisée et crédible (Article 4 et 5 de l’accord de 6 février 2019).

Que plusieurs mesures d’entraves des dispositions des Articles 1 ,2,3,4,5,6,7,8,9,10,11,12,13,14,15,16,17,18,19,20 et 23 de la Constitutions Centrafricaine sont violés par l’exécutif.

Que le recours constitutionnel  pour omission de chef d’accusation ;

Qu’il y’a lieu de prendre une décision de destitution du chef de l’Etat pour haute trahison.

Que la compétence irrévocable est irréversible de la cour constitutionnelle est énumérées  principale dans l’Article 124 et alinéas.

La Cour Constitutionnelle est Compétente, comme gardienne de la Constitution et relative aux séparations du pouvoir de l’état.

Il y’a lieu de rendre une décision pour apaiser les mémoires des Victimes.

Qu’après l’audition du requérant pour proposition soutenus dans sa conclusion,  informer, l’opinion publique et les institutions en charges exécutoires des décisions de la cour constitutionnelle.

A)     En la forme

 

Considérant que, le requérant relate en recours ordinaire d’omission dans le cadre des dispositions de l’Article 98.

 

Que  le recours en omission rectificative de chef d’accusation, évoqué par le requérant, Sieur justin innocent WILITE sont conformes aux règles des dispositions constitutionnelles en son article 23, 95,98, 99, 106, 107, 109,110 et 124.

 Le recours rectificatif en omission de Sieur justin innocent WILITE est Recevable à la forme.

 1.      Sur la Compétence de la cour

Considérant en date du 21 décembre 2020, sieur Justin Innocent WILITE Expert en institution et leader politique Centrafricaine saisi la haute juridiction de la République Centrafricaine.

Que pour omission de chef d’accusation de haute trahison de l’exécutif qui échappe le rapporteur de la haute juridiction dans sa première requête.

Que cette procédure de recours régulier au délai constitutionnel de l’Article 124 est relative d’omission de chef d’accusation de haute trahison de l’exécutif.

 Que, les  Causes et Motifs soulevés par le Requérant sont extrêmes soutenus qui nécessite une obligation des juges constitutionalistes de prendre une décision sur la requête en recours d’omission rectificative.

Que conformément à l’article 109 du pouvoir du chef  de l’état comme chef de l’exécutif, celui viole les dispositions de l’Article 124 de la constitution.

Qu’il dispose une haute responsabilité vis-à-vis du peuple centrafricaine et des institutions de la République.

Que, le chef de l’état, tel que, motif soulevé principalement de la haute trahison par le requérant détermine  une clarté et preuves irréversible pour sa Destitution conformément aux dispositions de l’Article 124  d’un (1) mois de délai par les juges constitutionnelles.

Que conformément aux Dispositions des Articles  95 et 107, explicitent du pouvoir judiciaire, le chef de l’état dispose une haute  discrétion  dans sa moralité pour engager la nation et garantir la bonne exécution des dispositions de la constitution de la République Centrafricaine.

Que, sa responsabilité de personnalité physique est ciblée par les articles 109 et 124 de la constitution.

Que la signature de l’Accord politique pour la  paix, la réconciliation de 6 février 2019 avec les groupes armée ne requière pas la bonne volonté du chef de l’état et les groupes armées pour confirmer la position apaisée de bonne volonté de  l’application des engagements signés par les partis.

 Que seul l’article 21 de cet accord est respecter pour la constitution immédiate d’un gouvernement inclusif sont important pour le chef de l’état afin de satisfaire les exigences des groupes armés.

Que les partis signataire aux regards des violations des différents accords politique ne constituent pas un climat apaisé pour la tenue d’une élection, libre, crédible et transparente.

Que les dispositions de l’Article 6 de la constitution sont largement violées par les partis signataires des accords.

Conformément aux règle soutenue du rôle de la cour constitutionnelle, en son article 80 ,143 et 145.

La Cour Constitutionnelle et les juges sont compétents.

 2.       Sur la Rature de la Réponse de la Cour

 Que les Députés et le Président de l’Assemblée Nationale devaient utiliser leur pouvoir législative pour interpeler l’exécutif et le destitué.                  

Que conformément aux dispositions de l’article 32 de la constitution le chef de l’Etat et le gouvernement sont responsable de la haute trahison du peuple Centrafricain.

Que Sieur justin innocent WILITE, dispose des preuves des pièces à ce sujet.

Que la décision de la cour constitutionnelle N° 001/CC/20 DU 04 JANVIER 2021 est fondée et rectifiée en réparation de l’omission de chef d’accusation pour haute trahison de l’exécutif.

Une transition politique et technique de neuf (9) mois dans l’Année 2021 serait la solution.

 Que, la cour dispose sa compétence irrévocable du recours d’omission de trois(3) jours rectificatif sur recours du requérant.

Constatant les dispositions de l’article 23,98 et 124 de la constitution, sur la réponse de haute trahison du chef de l’état de violer la constitution de la République Centrafricaine ; il convient de réserver une suite favorable.

Qu’une décision est valables  aux règles de la vision de transition politico-technique pour sauver la situation de la République serait inévitable et la tenue des nouvelles échéances électorales dans neuf (9) mois de l’année 2021.

B.      Au fond

Considérant l’accord de dernière possibilité de 6 février 2016, signé à Bangui par le chef de l’état et les groupes, armés pour garantir la vie des citoyens centrafricains, la réconciliation, de protéger les civils, de garantir une tenue des élections libres et transparente tous caduque aux regards des garants du dit accord et les facilitateurs.

Considérant, le pouvoir judiciaire et la haute institution indépendante de la République Centrafricaine.

Constatant les violations des dispositions de l’Article 124 de la constitution par le chef de l’exécutif.

Considérant, les dispositions de l’Article 68 de la constitution et le recours d’omission rectificative de chef d’accusation de haute trahison par Sieur justin innocent WILITE.

 Les députés sont complices et co-accusés de la haute trahison du peuple Centrafricain.

Que tel gravité de haute trahison les députés en fin de mandat  ne seront pas retenus dans cette transition de neuf(9) mois.

Considérant les dispositions de l’article 99 de la constitution qui précisé la durée du mondât de (7) sept ans non renouvelable des juges de la cour constitutionnelle.

Que l’article 109 de la constitution don le pouvoir relative au mondât de (5) ans du chef de l’état renouvelable sur la procédure électorale une fois.

Que les dispositions des articles 4 et 5 des engagements des partis signataires de l’accord du

Que la violation de l’article 23 et 127 de la constitution destitue son auteur de la haute trahison en conformité de la constitution évoqué par le requérant.

Considérant que les contentieux  pré-électoraux sont fondés.

Que les dispositions des articles 80, 143 et 145 donne les pouvoir à la cour constitutionnelle de tranché les contentieux, quelque soient leur forme mais qui dispose le pouvoir constitutionnelle relatif à l’article 95 et 106 et 107.

   La Requête de Monsieur justin innocent WILITE est conforme aux dispositions des Articles 23, 98, 99, 106, 110,107.

Que  la recevabilité du recours de haute trahison de l’exécutif en réparation et rectificatif sont fondés conformément  à l’article 124 de la constitution de la Républiques Centrafricaine.

La Cour Constitutionnelle décide  et statuer sur la Requête de Sieur justin innocent WILITE expert en institution et leader Politique Centrafricaine.

Article 1 :

La cour  est compétente

 

Article 2 :

Le recours de Sieur justin innocent WILITE est recevable en rectification de la décision N°001/CC/20 DU 04 Janvier 2021.

 

Article 3 :

Les prochaines élections seront organisées dans un délai de six (6) mois de l’année 2021.

 

La cour prendra toutes les dispositions de sa compétence de veiller sur l’exécution de la transition politico-technique  de durée de(9) neuf mois de l’année 2021.

 

 Elle désignera les nouvelles autorités en charge avec concertation de tous les partis impliqués de la crise ainsi que les partenaires de la Républiques Centrafricaine.

 Article 4 :

Le chef de l’état est destitué pour acte de haute trahison conformément aux dispositions des articles 6,23 ,98 et 124 de la constitution centrafricaine.

Article 5

La présente décision sera notifiée à monsieur justin innocent WILITE.

Aux Missions Diplomatiques.

A l’organisation des Nations Unies.

A l’Union Africaine

A la MUNISCA

 

 

 

     

                    

 

Fait à Bangui, le 8 Janvier 2021

 

   Justin Innocent WILITE

lundi 1 octobre 2018

Arbre à palabre

Apres avoir marcher dans la ville Molengue Ti Kodro est maintenant sous l'arbre à palabre.
Maintenant, discutons, tu as la parole.

Je demande est ce que le Premier Ministre est l'élu du peuple ou du President de la Republique ?
Tellement il est dans toutes les sauces (blocage de compte des particuliers en banque, achat d'hotel, achat des villas, integration clanique...), je me demande encore s'il venait à devenir Président à la place du Président, la population pourra t elle vivra encore dans ce pays ?
Meme les milliards de l'OPROCA sont toujours gelés.
A voté !

vendredi 7 juillet 2017

LE ROLE DES LEADERS D'OPINION


La réussite de toute manœuvre est la motivation et la détermination, l'abnégation ne vient que pour le consolider. Tout changement débute d'un rien mais d'une volonté. Il faut rêver et réaliser, les pays dits développés ont connu des années de misère et de guerre mais le changement est venu d'une décision unanime. 

Que chacun apporte sa Pierre. Le Centrafrique est un pays à 80% analphabète donc facilement manipulable. Donc les lettrés, les diplômés, les orateurs c'est à vous de conscientiser pour inculquer les bonnes pensées pour relancer le pays.
Si je parle là, je fais allusion :
  • aux prêtres, laisser vos prêches sur la pauvreté qui permet aux hommes d'entrée dans le paradis alors que nous tous nous que la pauvreté rend le cœur méchant ;
  • aux pasteurs, laisser vos prêches sur le bonheur qui découle de la dîme. Nous tous nous avons que vous appauvrissez le peuple ;
  • aux enseignants, enseigner aux enfants la valeur du travail (ex: le laboureur et ses enfants) et donnez leur la puissance de l'esprit d'initiative. Nous tous nous savons que l'Etat ne peut pas embaucher tout le monde.
  • aux politiciens, au lieu de chercher des postes proposer, créer, rassembler, financer dans le sens du développement. Nous tous nous savons que cette crise découle de vos intérêts égoïstes et de votre manque de vision futuriste ;
  • aux gouvernements, au lieu de voyager inutilement asseyez-vous, avec les moyens de communication que vous avez éduquer la population. Nous tous nous savons que le Centrafricain lambda ne sait pas ce qui se passe, pourquoi il se bât, où il va, et comment assurer son avenir et celui de ses progénitures;
  • les blogueurs, au lieu d'attiser la haine par la désinformation parler plutôt de l'esprit d'initiative, de création, d'entrepreneuriat, de fusion. Nous savons tous que l'Internet est un moyen de manipulation et d'intégration et que le petit qui vient d'avoir la connexion vous suit chaque car n'ayant un maître de pensée à suivre.
  • aux radios et à la TV, au lieu de nous bourrer les oreilles, la tête de la mauvaise musique, raconter les déplacements du gouvernement, les dons de l'extérieur qui ne changent dans le quotidien et des potins inutiles. Donnez à ce peuple assoiffé la nourriture de l'esprit par des bonnes émissions et programmes. Nous tous nous savons que le Centrafricain lambda réagit toujours sur qu'il a attendu sans vérifié.
Un peuple qui a besoin de l'éducation, nous devons le lui donner.

mercredi 29 mars 2017

Centrafrique et les accidents de motocyclette

Molengue Ti Kodro se demande pourquoi le nombre d'accident routier a augmenté en Centrafrique et pire les accidents de moto. Dans l'échelle des accidents de moyens, le moyen roulant le plus sûr est d'abord l'avion et en descendant le bateau, les véhicules à quatre roues, deux roues et enfin les skateboards, patin ... .
Mais depuis l'avènement des motos conçues et produites moins chères par la Chine, le nombre d'accident de moto à multiplier par dix.
Quelles sont les causes ? Elles sont matérielles ou humaines ?
Pour y répondre, nous devons d'abord accuser la qualité de ces moyens de transport fabriqués à la hâte et en masse ( créant une économie d'échelle pour leurs entreprises) sans tenir compte des règles de sûreté et sécurité. Le moteur se chauffe rapidement, le matériel se casse au moindre choc, la stabilité n'est pas assurée à un niveau de vitesse.
Mais pour la Centrafrique, les causes humaines sont les grands facteurs des accidents :
- un facteur et non le moindre est l'éducation dans la majorité de nos fléaux; 
- les conducteurs, surtout les taxi moto roulent toujours en grande vitesse sur toutes les axes. Nous savons tous que excès riment à accident;
- les conducteurs, plus fonctionnaires et commerçants roulent beaucoup en état d'ébriété. Nous savons tous que conduite sous l'effet de l'alcool diminue la vigilance et le temps de réaction conséquence accident en cours de chemin;
- les conducteurs, les taxi moto ont oublié que les moto ont des freins et s'adonnent aux esquives des obstacles sans prendre le soin de vérifier si un obstacle plus grand ne se trouve devant. On peut esquiver une voiture et se trouver nez à nez à un camion, mort assurée;
- les conducteurs, les taxi moto en majorité ne connaissent pas le code de la route. Pour eux, conduire c'est démarrer et passer les vitesses pour avancer alors les conditions de conduite qui assure la sécurité du conducteur, passager et passant dépend de ces connaissances. "Mon peuple meurt faute de connaissance", a dit Dieu mais c'est ce que nous constatons aujourd'hui.
Ou est l'émission "Prudence égale Vie" à la radio nationale Centrafrique qui enseignait les codes de la route aux centrafricains. Centrafrique a beaucoup à remettre sur pied pour le développement, par abus de langage, sinon nous devons parler de l'essor de son pays.

vendredi 27 janvier 2017

L'armée n'est pas l'armoire

Nous avons l'habitude de le dire que l'armée n'est pas l'armoire mais en République Centrafricaine, l'armée est devenue l'armoire. Depuis le coup d'Etat mené par le separationiste Michel DJOTODIA et la création de l'ARC (Armée Républicaine Centrafricaine), les Forces Armées Centrafricaines (FACA) sont devenues des bon à rien. Payer pour être à la maison et fuir quand il y'a des coups de feu dans une zone de la RCA.
Mais ce constat n'est pas récent, depuis 1993, après l'investiture du Président qui est saoul tous les soirs Ange Felix PATASSE, l'armée est devenue clanique. Une Armée qui ressemble à une armoire avec plusieurs compartiments donc une grande armoire bien structurée et savamment entretenue par le régime en place :
- compartiment du haut ou le compartiment des intimes du président pour ne pas l'armée de sa région. Dans ce tiroir ou compartiment, on y trouve les militaires les mieux équipés qui ne servent pas la nation mais le régime. C'est la Garde Présidentielle et les intouchables de l'armée ou le recrutement se fait non dans l'armée mais au siège des partis et dans les clubs privés.
- compartiment des militaires à éliminer, ce sont les anciens EBA, les privilégiés du régime RDC et toux ceux qui ont lien de parenté à ce régime. Même ceux qui ont un nom synonyme à ceux de la Mobaye et ceux qui ont fait alliance par les unions (brassage par l'amour) sont aussi fourrés dans dans cet compartiment. Ce compartiment qui se vide par la désertion, les démissions, les mises au couloir, la stagnation des cadres, les missions suicides. 
- compartiment des éléments de tel Général ou de tel Colonel ou Commandant, ce compartiment qui a plus de militaires est celui qu'on ne peut maîtriser si ce n'est que leur chef qui les a formés. Il suffit d'être le formateur chef d'une promotion (classe) pour s'approprier cette promotion et en faire ses éléments qui vouent loyauté au détriment de la nation.
- enfin le compartiment des apatrides, ceux qui ont fait leur formation à l'extérieur, l'armoire des déchaussés qui ne suivent aucun des codes pré établis dans l'armoire de l'armée centrafricaine. Ceux là ne sont rarement voir jamais reconnus et peinent à se trouver une place. Même pour signer leur arrêtée d'intégration après leur formation, ils doivent souffrir au minimum un an.
Ce son de cloche a traversé les régimes en RCA, à ce demander que l'armée ne deviendra jamais une Armée professionnelle mais reste la grande armoire qui vie sur le dos des maigres contributions des pauvres contribuables centrafricains.
Une Armée où les fils des officiers, des leaders politiques, des riches ne vont pas sur le terrain, au front, ne protège l'intégrité territoriale du pays. Cette armoire de fils de grandes personnes (Kota Zo) est la seulement pour amuser la galerie et dégainée dans les lieux publics, fanfaronnée devant les femmes pour montrer leur galon.
L'armée n'est pas l'armoire, la tenue n'est pas pour aller faire les motos dans les commissariats ni menacer les simples citoyens mais pour protéger la nation contre toutes attaques intérieures qu'extérieures.
Il est maintenant d'ouvrir l'armoire (l'armée) centrafricaine.

mercredi 16 novembre 2016

Le Centrafrique, Un Serpent à quatre pattes

Apres les récentes crises qui ont secoué le Centrafrique, le nouveau retour à l’ordre constitutionnel par un semblant d’élection démocratique, le pays tarde à se relancer. Le Centrafrique pays de multiples crises et coups d’Etat, ou la raison du plus fort est toujours la meilleure est un pays qui a oublié que les autres pays sont dans l’ère de la mondialisation et de la consommation de masse.

Le Centrafrique est devenu un pays fantôme pour ne pas dire fantoche ; un pays ou le Président de la République n’a pas d’autorité, le Ministre de la défense n’a pas de militaire (pour ne pas dire pas d’arme officiellement). Le Centrafrique est un gros serpent qui ne sait pas utiliser son puissant corps pour se déplacer au désespoir de sa population. Le Centrafrique, un serpent à quatre pattes qui sont :
  • ·     La Minusca : c’est là ou toutes les décisions politiques sont prises. Le Représentant Spécial de l’ONU est devenu Président à la place du Président. Rien ne peut se décider sans son accord et son aval même l’arrestation des membres de la société civile. La Minusca en Centrafrique supplée ou en mot dur ordonne à la présidence les directives à suivre ;
  • ·     Les Agences des Nations et les ONG Internationales : c’est la manne du peuple, ou tout est fait par distribution (kit, nourriture, cahier, bâche,…), elles prennent officiellement la place des Ministères centrafricains. Toutes les décisions des Ministères sont prises lors des réunions des experts des Agences et ONG dans les locaux des agences par des non centrafricains qui décident a la place des centrafricains.
  • ·    La communauté internationale : le sésame de la RCA, elle a tout le pouvoir jusqu’à modifier l’identifier d’une crise (guerre de religion chrétien vs musulman). C’est elle qui décide qui doit être poursuivi ou non dans le pays, qui doit être éligible ou non, qui doit être nommé ou non. Elle est le patron de la RCA, elle peut décider de déclarer le pays en « pré génocide », lui octroyer un financement avec des conditions draconiennes (le Forum de Bruxelles du 17 Nov. 16).
  • ·    Les pays de la CEMAC : la patte bandit de Centrafrique parce qu’elle lui joue souvent des tours. Les pays de la CEMAC font et défont des régimes en Centrafrique. Ils peuvent se permettre de déplacer un président (même de la transition), le gouvernement et l’Assemblée Nationale dans un autre pays pour lui imposer la démission du président et de son gouvernement tout en sachant qu’en amont ils avaient favoriser la prise de pouvoir par coup d’Etat de ce président.

Alors que le pays est un grand serpent avec des grands muscles du corps qui peut permettre son déplacement. Ses grands muscles sont abandonnés au détriment des pattes sont :
  • ·         Le gouvernement qui est capable de mener à bien le projet présidentiel de campagne et insuffler un nouveau dans le cœur de l’administration centrafricaine ;
  • ·         L’Assemblée Nationale qui est le contre-pouvoir capable de contrôler l’exécutif et faire des projets de loi qui pourraient redresser le pays ;
  • ·         La Société Civile qui est capable juguler le pouvoir, de redresser le législatif, de mettre la pression sur les forces étrangères mais qui dommage est muselée et dessoudée, la preuve est pendant que le leader est emprisonné les autres s’empressent de partir au COP 21 sous les frais de l’Etat avec l’argent des contribuables ;
  • ·         La population cette masse jeune disparate et inculque qui ne sait pas ce qu’il doit faire. Cette masse qui devait normalement être un moteur d’essor pour le pays est devenu le bras armé qui tue le pauvre centrafricain.

Le Centrafrique n’est pas encore prêt pour le changement, les projets des Nations Unies et ONG ne sont pas adaptés au besoin du centrafricain, la communauté internationale et les pays de la CEMAC ne peuvent continuer de dicter des ordres interminables dans un pays qui n’est pas le leur. Il est temps que la population prenne conscience.